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2013 - Split Valuatir - Indigenous Clans

by Corubo and Valuatir (FRA)

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1.
Ndaikatúi ndepu'aka mboka ñe'ëre, eñorairõ! Eñembosako'i mboka reheve, ñorairõ jey rekávo, ñemano rekávo! Eraha nde rayhu'ÿ, ambue opa peve, emopë kurusu, ehapy tetãygua pokatu, emokõ umi virúre oikóva.
2.
As folhas caem das árvores que parecem chorar, assim como muitos parecem também terem perdido algo, de insubstituível em suas existências. A lua toca as árvores mais jamais consegue iluminar o que há por trás de suas folhas; Pessoas nunca conseguem ver em profundidade o que há em suas sombras. O gelo e o frio sugam a energia vital das árvores, de suas folhas, como o vulgar, o falso e o incompleto afogam meu coração; que um dia sorriu com toda a inocência, da pureza e, que, agora só pode florescer em estações de ódio e tristeza. Muitas árvores continuam em pé, mesmo secas; sem energia, sem folhas, sem luz e sem sombra; mortas, existindo assim como muitas pessoas que ainda vagam, sem ter motivos para viver e sem forças para cair.
3.
Since the first necessity to win, this word kill all shameful evolution; Of the first ideologies to the ideological apex; of the firsts fights to the monopoly of the last war. No hope remained, materialize yearnings; Prophecies swore the chaos and they had confirmed this present; The nanotechnology assumes all form of organic and mechanics lifes; The most concrete version of the total destruction arrives at end. The reluctance of men to fight to reverse that is already stated; The last look disclose a horizon unrecognizable and disturbing; The last day falls as well as all a spice, before invincible; Crying the reality, the last agony, finishing the so perfect specie.
4.
5.
Jahe'Opapá 04:14
Hé aturú; (24x) Pytu ramo jaxy omoê xakã, ko'eju ramo oo para rovai. (2x) Tupã retã re ova'ê ramo oporandu: -Angé, mba'e pa yvy reoexa anetepa? -Nei, añeipa, añáretã; Nei, añeipa, na ja a; (2x) Na ja a.
6.
7.
Les premiers rayons illuminent les pierres De ma couche glacée par tant d'Hivers J'observe les figures dessinées Par mon souffle nouveau Poussière des offrandes d'antan Combien d'années se sont écoulées? Depuis que le tertre fut scellé Depuis la dernière initiation... Se confondant dans les images Des bonheurs d'autrefois J'hume les parfums de ruche Qui émanent du chaudron d'airain Je sais que le chant de vie Ne sortira plus jamais de ma bouche Cousue par tant d'années de silence Je n'ai que la voix des étoiles Dehors les vallées se pâment Noyées sous la puanteur des charniers Les roues du char sont brisées Le feu du tonnerre les consume "Témoin d'un temps que tu n'as pas connu, seras-tu prêt à retirer la première pierre? Que vois tu dans ces ténèbres, une réponse, un savoir? Accepte ce que je te donne, sors de ta torpeur Apprends ce que j'ai été, comprends ce que tu es Et complète le cercle…" Là où nos pères ont délaissé leurs araires Pour dresser des montagnes au firmament Je contemple les siècles d'oubli D'un œil serein et résigné De nous il ne reste que des pierres Et quelques morceaux de métal abîmés Qui pourra dire, qui pourra entendre Le chant de nos joies passées?
8.
Le ciel se trouble de nuages humides Les blés noircissent dans les plaines Tel est la punition des enfants ayant délaissé leur mère De nouveaux seigneurs détrônent les anciens Et seul le chêne connaît l'histoire Lui qui a vu ceux du temps des secrets de la pierre A celui des maîtres du feu Nos ventres pourris par les années mauvaises Ici les vieillards meurent avec leur savoir L'on dit que les cités d'antan sont dévorées par la famine Et que les vivants envahissent la vieille nécropole "Va mon fils, quérir ceux d'en haut Il faut nous hâter, aller déposer offrande Boisseaux et rameaux sont nos présents Bien pauvres nous sommes Et modestes sont nos souhaits Va au-delà de l'enclos, La Cité des Ormeaux n'est pas loin Que Ceux d'En Haut sachent Comment périssent leurs nourriciers L'homme du crucifié est encore venu Jeter son mépris sur notre mémoire Encore un empereur invisible qu'il faut honorer Il dit que son idole est meilleure Que c'est un arbre de vie Il parle bien la langue des puissants Celle que comprennent les serpents La méfiance… la méfiance Ils ne peuvent gouverner la famine Le temps d'aujourd'hui est néfaste Les cités en sont pourries Les herbes repoussent dans le grand théâtre Leurs habitants se cachent Derrière des murailles de vide L'empire du monde échappe aux césaréens !" "Cela ne servirait à rien, père Pour eux l'eau qui coule n'est plus la même Dans la civitas j'ai vu l'arbre du Sud Le nôtre n'est pas assez doré Et le malheur restera notre lot Jusqu'à ce que tout brûle"
9.
Les années filent Comme grandit la bruyère Au fond de mes orbites creuse. Tous, vous m'avez oublié Empêtrés dans vos méandres De peur et de mépris Les années filent Rapide comme le vol de l'aigle J'ai été oiseau Et je dors avec les pierres Je vous ai vu défiler Dans vos habits de fer Mais c'est la rouille Qui vous a figé Loin est le temps Où je fus des vôtre Mais je vous entends J'ai appris dans mon attente infinie : La voix change mais le chant reste le même Alors que l'entaille reste et saigne Oh... Le vent hurle les âges longs L'histoire se grave dans les cernes du chêne Souviens toi de ce qui t'effraie désormais …Le reflet de ce qui t'a construit Mille années encore Avant que les vers vous rongent Mille années Avant les prochaines glaces Mille années Et le soleil disparaîtra Mille années Pour oublier la vengeance La bruyère comme sépulture Mon âme est restée prisonnière Je n'ai jamais connu les rivages De Bélésbat l'Immortelle J'ai souvent pleuré devant ses portes closes Oh... Grande ville des légendes ! Piégé par un oubli sans fin Où rage et haine ne sont que poussières J'aurai aimé que la givre se fige Que le printemps ne revienne jamais Écoutez, hommes sans passé La longue plainte de celui qui n'a point de sépulture Si la tête du brenn m'est apportée Alors, je pourrais changer de monde à nouveau

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released January 1, 2013

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Corubo Minas De Corrales, Uruguay

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